trottoir avec deux t :)

Sinon une petite lessive de la façade du bâtiment serait un plus :p

Sinon rien de grave, tout roule !

Merci. C'est corrigé.

tout a fait d'acord avec toi

voila c'est tout, faut pas non plus rajouter de la plublicité sur ce genre d'individu

A lire dans la NR de ce jour : "Pendant le ramadan, les quartiers sensibles sont-ils plus chauds ?" (le lien hypertexte fonctionne aujourd'hui seulement).
Je n'ai pas trouvé dans cet article d'élément statistique ou objectif permettant d'établir un lien entre la fête religieuse et les problèmes de violences urbaines. Ces problèmes, limités, existent également en été, le 31 décembre ou à d'autres occasions.
Il n'existe pas non plus d'éléments objectifs permettant d'établir que les auteurs des incidents du mardi 25 septembre sont musulmants et respectent le ramadan. Mais on décide, a priori et sans fondement, de coller ces incidents sur le dos de mes frères musulmans.
Je suis vraiment peiné par cet article.
J'aurais préféré lire un article sur le fait que le ramadan crée, pour les Tourangeaux, l'occasion d'acheter de délicieuses pâtisseries orientales dans les épiceries du Sanitas. Mais c'est mon côté épicurien ;-)

ne faut-il pas limiter l'entrée de scientifiques dans les rand des journaliste, afin de permettre que les articles soient appuyé par la rigueur scientifique des statistiques?
Cette méthode de chosir des témoiniage allant dans un sens me pose beaucoup de question sur ce torchon.

Ecrire d'un journal que c'est un torchon, ça stigmatise. Je ne suis pas certain que ça fasse avancer le débat.
J'ai plus d'attirance pour la critique raisonnée.

a part en effet ce dernier mot qui ma échappé, tu en conviens que mon commentaire n'était que pure ironie.

J'avais bien compris ;-)

C'est juste le dernier mot qui m'a fait réagir.

Et voici l'épilogue de cette minable affaire.

Deux individus, suspectés d'avoir fabriqué et lancé contre le commissariat les engins explosifs ont été arrêtés les 4 et 5 octobre. Ce qui prouve que la police est efficace. Ces dangereux délinquants qui terrorisent M. Peltier et l'amène à penser que le Sanitas ressemble au Bronx seraient... deux minots de 12 et 14 ans !

"Le problème c'est que ces engins sont surtout dangereux pour les auteurs eux-mêmes" explique un commandant de police dans la NR du 6 octobre.

Monsieur Peltier, ne vous laissez pas si facilement impressionner par de jeunes collégiens idiots !

Qu'ils aient 12 et 14 ans ne les excusent pas. En les désignant par le terme "minots", tu leur donnes un côté sympathiques. Ce sont malheureusement avant tout des voyous ! Appelons un chat un chat. Les "minots" ce sont les gamins de 12/14 ans qui ne font pas ce genre de conneries !

J'ai écrit minot* mais j'ai également écrit idiot. Ce qui les excuse ce n'est pas d'être minot. Mais un bon avocat, mettant en avant l'incroyable bêtise de leur geste, pourra tenter de plaider l'idiotie.

Ce qui est navrant, c'est de songer que des enfants de 12 et 14 ans ont si peu de sens commun, si peu de conscience de ce que l'on peut faire et ce que l'on ne peut pas faire, qu'ils en arrivent à commettre des actes dont la gravité les dépasse. Ils mériteraient que Bayrou vienne leur coller une baffe.

Tu as raison : rien n'excuse un tel geste. Mais les condamner ne pourra pas suffire. Notre société ne pourra pas faire l'économie d'une réflexion de fond.  Qu'est-ce qui ne va pas pas dans l'éducation, les rapports sociaux, les rapports familiaux, l'image de la police... pour qu'on en arrive là.

Même chose, à mon sens, à propos des "punks à chiens". On peut effectivemment les stigmatiser. Mais on ferait mieux de se demander comment des jeunes de 18-20 ans, qui est normalement l'âge des envies et des audaces, ont si peu de volonté et d'ambition qu'ils décident  de vivre dans la rue avec leurs chiens.

* "minot" est également l'expression utilisée par les policiers que j'avais rencontrés sur place et que je cite ci-dessus. Ce qui prouve que les policiers ont assez d'humanisme pour voir, derrière les apparences du voyou, le "minot" qui a sans doute plus besoin de l'attention de ses parents et de ses éducateurs que des bons soins de la police et de la justice.