Troisième jour de "l'affaire" Bitoun/Biloun et troisième article dans la Nouvelle République consacré à Pierre Biloun...

Cette fois, il s'agit même d'une longue interview avec photo et manchette en Une. Ce qui justifiera, vous en conviendrez, que Monsieur ait désormais sa page sur Wikipédia !

Pour être plus précis, on ne sait pas très bien qui est interviewé : dans le même article, Pierre Biloun est cité deux fois et Pierre Bitoun est cité 5 fois. Mais qu'on se rassure, messieurs Bitoun et Biloun sont sur la même longueur d'onde :-)

Aucun erratum n'évoque l'utilisation de "Biloun" dans les éditions de ces deux derniers jours.

Mais "l'affaire" prend un tournant innatendu.
Car comme nous l'explique le blog de la NR :
"Guillaume [c'est moi] se trompe en disant que l'erreur prouve que l'information n'a pas été vérifiée".
Dont acte.

Puisque je me suis trompé, je présente à mes lecteurs mes humbles excuses, espérant qu'ils voudront bien admettre que, si il arrive à tout le monde de se tromper, l'essentiel est de savoir reconnaître ses erreurs.
Il m'arrive de me tromper au moins aussi souvent que mes confrères de la Nouvelle République et je ne crois pas que le fait de reconnaître mes erreurs nuise à ma crédibilité.

Je m'excuse plus spécialement auprès de la rédaction de la Nouvelle République pour avoir injustement prétendu que le quotidien aurait pu publier une information non vérifiée.

L'info publiée trois fois était fausse, mais elle était quand même vérifiée...

Je n'écrirai rien de plus à ce sujet. Car je crois que lorsqu'on s'est trompé, il faut savoir le reconnaître, s'excuser, et éviter de la ramener.

Je vais donc faire profil bas... et tâcher, à l'avenir, de me tromper moins souvent.


PS : les lecteurs les plus attentifs de la Nouvelle République de ce jour, auront compris, en page 3, que j'entretiens par ailleurs d'excellentes relations avec mes confrères de la Nouvelle République et j'entends bien que cela dure !
Mais qui aime bien châtie bien. Et par moments, je dois avouer que j'ai du mal à comprendre comment fonctionne ce journal...

Répondre à cet article