J'ai la chance d'être à l'IUT et pour le moment la situation est encore acceptable pas de blocage mais on attend de voir ce qui va se passer car ils (les grévistes) prévoient une AG sur le site ce jour.

Moi je suis étudiant en formation continue et je ne peux, ni ne dois, manquer de cours pour deux raisons:
- professionnelle tout d'abord car j'ai mis en suspend ma carriére pour revenir aux études.
- financiére ensuite car le conseil général paie une partie de ma formation et que je serais vraiment dans la merde si je devais rembourser cette somme.

Pour finir, et sans aucune animosité envers les grévistes, c'est bien beau de faire la grêve et d'essayer de débrailler des amphis ou des sites entiers mais il faut peut être d'abord informer la public pour que les gens adhérent.

Pour ma part je n'ai pas réellement suffisemment d'infos vérifiées pour pouvoir me faire une opinion sur ce mouvement.

Les petits terroristes et révoltés professionnels sont de retour... Le feuilleton est suivi sur mon blog...

Vous ne devez pas faire grand chose en ce moment M. Cingal. Vous êtes payé par le ministère pour prendre des photos de la fac et rédiger des communiqués pour expliquer que vous ne ferez pas votre boulot d'enseignant ? on comprend votre neutralité sur la loi.
Plusieurs professeurs beaucoup plus consciencieux que vous, envoie à leurs élèves une copie des cours qu'ils auraient dû avoir.
On est déjà emmerdé par le Blocage et vous, vous contentez d'alimenter la tension en expliquant vous ne ferez rien, ni conseils de lecture ni rattrapage.
Vous êtes pire que les bloqueurs.

Arnaud, vous "dévaginez".

Je suis payé par le Rectorat et le Ministère pour faire mon métier d'enseignant-chercheur. Cette semaine, j'ai fait mon travail, et même assuré une présence accrue sur le site. Vous devriez plutôt vous renseigner et pointer du doigt les enseignants qui ne font aucun travail d'administration et ne sont présents que deux jours par semaine à la fac avant de tirer à boulets rouges et de manquer votre cible.

Mon argumentation est simple : je constate que la majorité des étudiants sont contre le blocage mais que, devant le fait accompli, ils préfèrent rester chez eux plutôt que d'aller contrer les bloqueurs sur le terrain. Ils se disent sans doute que la présidence ou les enseignants règleront le problème à leur place.

Quoi qu'il en soit, ce n'est pas aux enseignants de crouler sous une charge de travail pour laquelle ils ne sont pas payés. Sachez que je l'ai fait au printemps 2006 : cours par mail, cours dans des cafés, dossier supplémentaires, rattrapages de cours, plannings en tous genres. Pour tout ce travail bénévole, les enseignants n'ont reçu ni dédommagement financier de leur ministre de tutelle, ni reconnaissance de la part des étudiants.

Mon commentaire aussi sur le blog d'Inertia Creeps:

Tout d'abord permettez-moi de me présenter :

Christian étudiant en sciences à Tours pendant 8 ans.
Je me suis mobilisé l'année dernière pour éviter le blocage en vain. J'ai assisté à plusieurs AG, participé même en posant dans questions devant un publique assez sur la défensive, résisté lors du blocage de la Fac de sciences (20 refusant l'accès aux 200 pro-blocages, libérés par 80 CRS).

Si comme lors du CPE, je suis à peu près d'accord avec le refus de cette loi (représentation étudiante réduite à 5, augmentation des nominations de personnalités extérieurs, dans les conseils, ...), je suis absolument contre ce blocage comme au moment du CPE.
Cette méthode divise les étudiants et fait plus parler de la forme que prend le mouvement que le fond. D'autre part les étudiants qui auraient pu rejoindre ce combat mais choqués par les moyens employés on tendance à ne plus réfléchir sur la loi en elle-même mais se met contre le blocage.

Pour ce qui est de la minorité, je les connais bien.
Adrien lors du CPE essayais de modérer certain lors des AG. Pour avoir bien analysé ce qu’il se passé lors du CPE, je tien à dire qu’en effet certaines personnes manipule pas mal de monde. SUD étudiant qui est pas mal de mèche avec des collectifs d’anarchistes et des partis politiques comme la LCR37. Nous retrouvons d’ailleurs quelques adultes dans les AG des agitateurs aux bonnes paroles qui la monopolisent.
http://lcr37.lautre.net/photos/fete/photos/P1010010.JPG
Sur cette photo le jeune homme de dos et la personne d’un certain age ont été des acteurs principaux de la crise du CPE à Tours.
Défendant la liberté et la démocratie, avec les élus associatifs nous avons obtenus l’année dernière la mobilisation en AG des anti-bloqueur. Se faisant submergé par l’arrivée de lycéens en nombre votant pour le blocage de notre fac, nous avons alors obtenus la mise en place d’un vote de tous les étudiants. Nous avons vus que ce vote, symbole de la démocratie étudiante, à été saccagé par des vols d’urnes, des menaces et insultes…

Je vous invite donc à vous unir contre le blocage (attention au manipulation de l’autre coté genre l’ « UNI » et « STOP la grève » très très proche des jeunes UMP).
Attention toute fois, certaines personnes n’ont peur de rien. Lors de l’assaut contre la fac de sciences l’année dernière, nous avons reçus coup, insulte et menace de mort de la part d’une 15ene d’étudiants radicaux.

PS : je suis contre cette loi qui est un révère pour la démocratie étudiante.

Situation calme à l’Université de Tours « Tanneurs, Fil d’info : " étudiants qui ne souhaitent pas participer au mouvement ou ceux qui préparent un concours. En effet, l’accés aux salles informatiques et aux bibliothèques a été voté par une trés large majorité des étudiants hier soir. Visiblement, les grèvistes sont à la recherche d’un consensus et évitent soigneusement de donner du grain à moudre aux “anti-bloqueurs”(1) (2) (3) (4)."

Eh bien... Ca me rapelle ce vieux CPE et la crise qui allait avec... No comment, sinon je vais m'énerver... Je laisse ma soeur raconter :) 

La différence fondamentale avec le printemps 2006, c'est que cette année les enseignants ne feront pas du rafistolage après coup. Les enseignants ne sont pas responsables du blocage et ne rattraperont pas les cours. Si tous les examens sont reportés à la 2ème session, tant pis...

Autant dire que les étudiants favorables à la reprise des cours devraient s'activer au lieu de laisser les professionnels de l'agit-prop décider de leur avenir.

Je suis scandalisé par le commentaire de M. Cingal, professeur à l'Université de Tours.

Les étudiants sont doublement pénalisés par ce genre de comportement. D'une part, la fac est bloquée et d'autres part le Directeur des études de LEA, invitent ses professeurs à ne pas compenser l'absence de cours.

Ce professeur se rend chaque jour à la fac ? Il passe son temps à envoyer des commentaires copié-collés et faire des photos du blocage. Quel bel exemple pour un enseignant-chercheur.

M. Cingal au lieu d'alimenter votre blog en communiqués, vous feriez mieux d'aider les étudiants qui ont envie d'avoir des cours et d'acquérir du savoir.

Arnaud,

J'aimerais autant que tu ailles poster ce genre de commentaire directement sur le blog de Guillaume Cingal. Non pas que ton commentaire, à mon sens, outrepasse le cadre du débat. Maisi le ton venait à monter, j'aimerais autant que ça ne se passe pas ici. Chat échaudé craint l'eau froide...

Pas d'inquiétude à avoir, Guillaume. J'ai le sentiment que tu as un peu évolué depuis l'hiver dernier...

Pour répondre au courageux "Arnaud" :

Je suis payé par le Rectorat et le Ministère pour faire mon métier d'enseignant-chercheur. Cette semaine, j'ai fait mon travail, et même assuré une présence accrue sur le site. Vous devriez plutôt vous renseigner et pointer du doigt les enseignants qui ne font aucun travail d'administration et ne sont présents que deux jours par semaine à la fac avant de tirer à boulets rouges et de manquer votre cible.

Mon argumentation est simple : je constate que la majorité des étudiants sont contre le blocage mais que, devant le fait accompli, ils préfèrent rester chez eux plutôt que d'aller contrer les bloqueurs sur le terrain. Ils se disent sans doute que la présidence ou les enseignants règleront le problème à leur place.

Quoi qu'il en soit, ce n'est pas aux enseignants de crouler sous une charge de travail pour laquelle ils ne sont pas payés. Sachez que je l'ai fait au printemps 2006 : cours par mail, cours dans des cafés, dossier supplémentaires, rattrapages de cours, plannings en tous genres. Pour tout ce travail bénévole, les enseignants n'ont reçu ni dédommagement financier de leur ministre de tutelle, ni reconnaissance de la part des étudiants.

J'ai un peu évolué depuis l'hiver dernier ?
Vil flatteur. Déjà tout petit à l'école, je rougissais jusqu'aux oreilles lorsqu'un professeur me faisait un compliment

Pour ma part, l'enseignant n'est pas payé pour le temps qu'il passe dans les locaux de l'Université mais pour les heures d'enseignement qu'il doit donner de manière effective. Si la situation fait qu'il ne peut pas les donner, alors il devra le faire plus tard. Il faudrait finalement une "sorte de" badgeuse :p

Un petit lien vers le blog de Pingoo qui m'a bien fait rire! Evidemment cela est caricaturale et ne doit pas être pris au premier degré.

Et une pétition pour l'accès libre aux sites universitaires...

Je rejoins complètement Guillaume sur son article « Coup de gueule sur le blocus 2007 à l’Université de Tours » publié sur Touraineblogs.

J’ajoute à son article que certaines victimes de ce mouvement étaient en périodes d’examens donc les partiels ont été en partie reportés … Je n'ai rien contre le fait que certains défendent leurs idées bien au contraire, je les comprends, mais je persiste et je signe en disant qu’il est inadmissible, ... à suivre sur secondeclasse !

 Hey !! C'est mon article :p Tsss.... (humour!).

Je sais j'ai vu ;) mais trop tard hihihi ! (j'ai corrigé l'erreur sur mon blog)

Oui, oui. C'est son article !

Je plaide non coupable. Je n'ai pas écrit une ligne, ni ici, ni ailleurs, ni pour ni contre la loi relative aux libertés et responsabilités des universités, ni pour ni contre le blocage des universités.
Pour l'instant, je lis, j'écoute, je regarde, j'essaie de comprendre. Et je ne comprends pas tout.

que ne comprend tu pas?

la loi ou les blocages?

Les 2 !

- Sur la loi : je n'ai pas trouvé le temps de m'informer en détail. A priori, il me semble intéressant de donner plus d'autonomie aux universités et de leur permettre de s'ouvrir sur le monde de l'entreprise. Je peine à croire que ce soit uniquement par amour pour Nicolas Sarkozy (ou alors il est lui aussi victime de l'ouverture ?) que Michel Lussault déclare que "la loi LRU n'est pas aujourd'hui susceptible de remettre en cause l'intégrité de l'université, ni de menacer quelque filière que ce soit, ni de supprimer la liberté d'inscription après le baccalauréat".
Cela dit, je comprends le malaise plus global de l'université et des étudiants : on fait campagne en expliquant que l'enseignement et la recherche sont des priorités, on balance 13 milliards d'euros de paquet fiscal et après on racle des fonds de tiroir et on envoie la belle Valérie Pécresse faire une moue toute embêtée à la télé pour dire qu'on est désolé mais qu'il n'y a plus d'argent... " Bah oui ma bonne dame, c'est-y pas triste quand même ? Sinon on aurait volontiers donné, mais là on n'a plus d'sous".
Le malaise me semble évident mais la loi LRU est-elle la bonne cible ?

- Sur les blocages : est-ce qu'il s'agit véritablement de dénoncer une loi adoptée 3 mois plus tôt ? Ou est-ce qu'il s'agit, notamment pour le syndicat Sud, de donner de l'ampleur à une mobilisation nationale contre Sarkozy ?
Est-ce que c'est la bonne méthode ?
En revanche, je ne suis a priori pas tellement dérangé par le fait que le blocage soit le fait d'une minorité. Dans l'histoire du monde, aucun élan, aucune initiative, aucun mouvement n'a jamais été initié par une majorité. Et toute idée novatrice est nécessairement minoritaire : Sarko lui-même était minoritaire dans son parti quand il a commencé à évoquer le financement public des mosquées. La question est plutôt de savoir si le mouvement initié par une minorité peut convertir une majorité (comme ce fut le cas contre le CPE) ou s'il s'agit d'un mouvement qui restera minoritaire et qui, dans ce cas, doit cesser rapidement.

Comme je pose plus de questions que je n'apporte de réponses, je vais continuer à observer et réfléchir :-)

-         Michel Lussault défend une loi qui fait du président de l’université ce que N.S. à fait se son poste à la tête du pays : un super président avec de super pouvoirs.

Nominations de membres extérieurs (copinage, réélection en vus, …)

La représentation étudiante dans le conseil d’administration à été réduite à coup de hache :

20ène enseignants-chercheurs

7 à 8 personnalités extérieures

3 à 5 représentants des étudiants (on passe de 25% de représentation à

2 à 3 représentants des personnels techniques et administratifs.

 

-         Je pense que la loi est une bonne cible tout de même car elle oriente l’Université vers un chemin qui faire peur à certain. Elle fait rentrer des personnalités extérieurs au conseil d’administration (politiques, chefs d’entreprises) qui ont un poids plus grand que celui des étudiants.

 

Mais elle l’est moins bonne sur la soit distante possibilité de disparition de filière pour cause de rentabilité des chefs d’entreprise. Comme vous avez pu le voir la moitié du conseil est composé d’enseignant-chercheur et ne l’est pas de chef d’entreprise encore.

 

-         Sur les blocages : je pense que le timing est particulièrement bien choisi.

Il fallait de temps pour revenir de vacances ou de job d’été.

Il fallait du temps pour rassembler quelques troupes.

Il fallait du temps pour observer la mobilisation forte sur les retraites, pour ne pas être seul.

 

-         sur la majorité et la minorité je ne pense pas que de dire que le mouvement doit cesser rapidement car selon ton discourt tu devrais leur laisser une chance.

Je pense pour ma part que le blocage ne doit être qu’une solution de dernier recours.

Au lieu de bloquer les locaux, pour que les étudiants viennent en AG afin de pouvoir s’informer ou se faire influencer sur la loi, pourquoi n’ont-ils pas fait des barrages filtrant  dans le but de tracter tout les étudiants allant en cours ?

"En revanche, je ne suis a priori pas tellement dérangé par le fait que le blocage soit le fait d'une minorité. Dans l'histoire du monde, aucun élan, aucune initiative, aucun mouvement n'a jamais été initié par une majorité."

Je retrouve la mon idée,evoquée dans un autre lieu que celui ci!J'espere qu'il est le fruit de votre pensée et non un simple ressuçage de ma réflexion.Comme cette réflexion fut assez personnelle,il me parait bizarre de la voir ressortir comme cela,et c'est pour cela qu je demande une clarification sur le sujet!
Quoiqu'il arrive la véracité de ce fait démonte l'argument de la soi disante majorité qu'on muselle (meme en vote electronique,coup bas je l'assume!)

 

 Excusez ma franchise mais votre grande réflexion « personnelle » est l'un des lieux communs les plus éculés qui circulent en boucle sur la Toile depuis le début de cette crisette. Le fait est que tout le monde, sur les blogues ou les forums, nous balance ça avec le plus grand sérieux, comme s'il s'agissait de la vérité absolue, que nul ici-bas ne serait autorisé à contester : la masse bovine du peuple se doit d'être conduite vers le progrès radieux par une petite minorité éclairée (je traduis en langage dénué de toute hypocrisie). Ah bon ? Et éclairée par qui ? Par Dieu-le-Père ? Le dalaï lama ? Les mânes de Marx ?... Et puis, d'abord, comment sait-on qui a le droit de faire partie de cette élite détentrice de la vérité, seule capable de nous guider vers des horizons que nous sommes incapables d'atteindre par nous-mêmes ?

 

 Sans doute la mise en pratique de cette belle idée a-t-elle permis à une petite partie de l'humanité (en gros, celle qui vit dans nos beaux pays repus) d'évoluer au fil des siècles vers la démocratie, dont j'ose espérer qu'elle constitue pour vous un indéniable progrès par rapport à ce qui existait auparavant et qui subsiste alentour. L'ennui, cependant, c'est que ça ne marche pas à tous les coups. Je ne veux surtout pas faire de rapprochements douteux mais, pour vous donner à réfléchir sur le caractère simpliste de votre axiome, les nazis ou les Khmers Rouges étaient eux aussi, à leurs débuts, une infime minorité bougrement agissante. On a vu cepedant de quel type d'« élan », d'« initiative » ou de « mouvement » ils ont été capables. Je n'accuse évidemment pas nos braves bloqueurs de facs très démocratiquement opposés à tout scrutin dont le résultat pourrait leur être défavorable de souhaiter secrètement l'instauration d'une dictature, oh que non, et je ne suis même pas sûr, du reste, que les trois quarts d'entre eux aient le moindre début de culture politique. Je veux simplement attirer votre attention sur le fait qu'il se peut, certes, que les progrès de l'humanité ne soient guère possibles sans les agissements d'une minorité, mais que cela n'implique aucunement que le fait d'être minoritaire pare du même coup de toutes les vertus le moindre mouvement, fût-il progressiste ou prétendu tel. Aussi votre belle affirmation selon laquelle « quoiqu'(sic)il arrive, la véracité de ce fait [le progrès grâce à l'activisme d'une minorité] démonte l'argument de la soi-disante (re-sic) majorité qu'on muselle » est rien de moins que péremptoire. La « véracité » de ce fait, comme vous dites, n'étant absolument pas établie à mes yeux, elle ne démonte en tout cas rien du tout pour moi (qui, je le précise, ne suis plus étudiant depuis belle lurette et n'ai à peu près aucun avis sur la désormais fameuse loi LRU).

 

 Je laisse d'ailleurs à vos réflexions, puisque vous en êtes friand, ce qu'écrivait le regretté Pierre Desproges sur le sujet : « Le 14 juillet 1789, à Paris, une poignée d'agités enfonce la porte d'une prison désaffectée. Grâce à quoi les bourgeois prennent le pouvoir. Deux cents ans après, ils y sont toujours ». Je vous invite par ailleurs à faire vôtre le détournement qui a été fait, il y a une quinzaine d'années, d'un célèbre slogan : « Dis-leur merde, aux leaders ».

Elle n'est en rien une vérité générale mais un argument qui contrebalance celui de la minorité qui muselle  la majorité.Une minorité ne peut détenir la vérité?alors à quoi bon la politique?TOUT serait remis en cause...
En quoi les gouvernements peuvent-ils détenir la vérité,ne serait-ce qu'en partie?Si c'est parce qu'elle est élue,j'emets un doute mais c'est un début.
Sinon votre rapprochement n'est pas douteux,il est même tout a fait judicieux.Mais je tiens à préciser que c'est dans la "nature" (c'est un peu pompeux,j'avoue) qu'il y ait une masse qui se fasse diriger par une minorité.Après il y a des exceptions...

Je ne savais pas que cette idée circulait partout sur le net et je vous présente mes excuses les plus plates et ce n'etait pas une attaque,loin de là!

Oui je suis friand de réflexions comme vous le dites car je trouve qu'il n'y a rien de plus interessant que de partager et confronter ses idées avec autrui.Cela enrichit ma culture personnelle et me permet de me remettre en question.

Pour les fautes,j'ecris vite et ne me relis pas (et pourtant je devrais!!) et je m'en excuse aussi.
Je vous plussoie() fortement sur la citation de Desproges (d'ailleurs c'est la vérité sur cet événement qui m'a interpelé sur la réecriture des faits historiques dans les livres,c'est....surprenant) et ne fera pas mien ce slogan.

Merci pour votre réponse et franchise!

 Je ne sais s'il me faut réellement m'en vanter mais, pour ne pas être accusé, en tout cas, de jouer les glorieux anonymes, je dois préciser que je suis l'auteur de l'impérissable prose qui figure ci-dessus.

(désolé, M'sieur Lapaque, je n'ai pas mis mon nom dans la bonne case... Eh oui, on est doué ou on ne l'est pas).

A.C.

ce qui change :

coulot.blogspot.com/2007/08/loi-sur-lautonomie-des-universits.html

Mobilisation LRU, malgré le blocage, situation calme aux Tanneurs - Wikio : "“anti-bloqueurs”(1) (2) (3) (4)."

Tanneurs, Fil d’infos étudiantes à Tours : " étudiants qui ne souhaitent pas participer au mouvement ou ceux qui préparent un concours. En effet, l’accés aux salles informatiques et aux bibliothèques a été voté par une trés large majorité des étudiants hier soir. Visiblement, les grèvistes sont à la recherche d’un consensus et évitent soigneusement de donner du grain à moudre aux “anti-bloqueurs”(1) (2) (3) (4). "

Seconde Classe : Orléans - Tours : "Je rejoins complètement Guillaume Julien Ezaekiel sur son article « Coup de gueule sur le blocus 2007 à l’Université de Tours » publié sur Touraineblogs. "

tg

sérieu tu dit nimp, on sen fou ke tu veuille travailler tadentra un moment, le temps ke les problemes soit résolus ... bouffon

 MOUAHAHAHAHAHAHH :)