The worst is yet to come. [Les fées noires]
Source : Respirare by Mélisande
Les fleurs du cerisier japonais enchantent et illuminent le printemps. Ces jolies pétales, douces, colorées roses et si légères, flottant au vent. C'est l'odeur, [et] l'âme du printemps, qui nous offrent des sourires de vies. Ces Fleurs de Saisons.
Y'a cette gamine, assise en pleurs, qui chagrinent, de trop grands malheurs. Juste ça. Elle vacille. Si fragile. Face à la vie. Tellement immense. Qu'elle a peur de s'y perdre. Elle tremble. Je suis cette fillette là. Trop triste. Trop cassée. Trop écrabouillée. Trop ailleurs. Trop d'ailleurs.
[Elle n'était pas d'ici]. Parce qu'elle se sent. Si étrangère. Si incomprise. Si mal. Qu'elle préfèrerait mourir. Pour arrêter de pleurer. Pour empêcher son corps d'être mutilée. Pour empêcher le sang de couler. Parce que le sang sur le blanc, c'est trop salissant. Tâcher la pureté de la vie. Avec ces écorchures [de ses fées] noires. Qui explosent en filet de rouge.
La vie est d'interruptions et de complications. Il a dit. Et les obstacles. Aussi. Il faudrait ajouter. Il faut parfois se perdre dans les ténèbres. Pour pouvoir peut être se retrouver. Et savoir qui l'on est.
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Par | Avant | 12/05/2006 23:34 | Après | Dernières mises à jour | aucun commentaire |
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