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Nombre de penseurs du travail, héritiers de la culture judeo chrétienne continuent à penser que la souffrance au travail vient du fait que les individus sont paresseux et ne veulent pas travailler. Et cela arrange tout le monde, depuis Zola.

Aujourd'hui, alors que le travail ouvre à la fois  les portes de la consommation, donc du plaisir de faire, et de l'identité sociale, indispensable au plaisir d'être et d'être reconnu, cette logique me semble dépassée.

Tous les individus veulent un travail lucratif et épanouissant et sont prets à s'investir pour qu'il y a un vrai retour sur investissement. Ils veulent être les acteurs de leur travail. Ils veulent que leur souffrance ait un sens..pour eux. Il y a des plombiers heureux, des boulangers heureux [..]

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