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Ce n’est plus dans les couloirs des facs que les passions s’enveniment, mais dans les bureaux de nos professeurs d’Histoire. A la rentrée, pour notre quatriéme année, nous devions choisir un sujet de mémoire, j’ai vu l’emballement de mes camarades pour les sujets sur l’immigration, dirigé par Sylvia April. J’étais assez sceptique sur cette thématique, les autorisations de dépouillement devaient se faire en un clin d’oeil grâce à un sésame ministériel [..]

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