Source :

Si j'avais un collègue et ami journaliste qui appréciait que Sarkozy le tutoie -c'est très courant-, lui brandirais-je mes idéaux de séparation strictissime des pouvoirs exécutif/presse, ou accepterais-je comme l'ensemble des médias que, finalement, "c'est normal, hein, on se côtoie tous les jours, on va pas se faire la gueule" ? Chaque jour le travail de journaliste me paraît plus difficile et totalement indéboulonnable d'une batterie de principes fondamentaux (dont il est certainement beaucoup trop facile, vu d'ici, de constater qu'ils traversent rarement l'esprit de certains) [..]

Répondre à cet article