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Et avec ces larmes. Ces semaines, ces mois de retenus. J'ai tout lâché. A coté de lui. Désemparé(e/s). Je repense à tout ce qui a fait que je bouillonne de colère, de l'intérieur. De toute cet accumulation de plein plein de choses. Importantes, ou non. Mais qui hantent les pensées, et restent accrochées. Comme scotchées.

Il pleut, beaucoup. Des cordes. A torrents. Je regarde les filets d'eau qui tombent du ciel. J'écoute leur sons. Tellement assourdissants que. Même [La Campanella] ne les couvre pas. C'est juste mes multiples de larmes.

Mon vieux natel saute hors de ma poche. Je me refugie dans la poésie de Leopardi. Infine. Ca ira.

Ca ira. [Parce qu'il ne m'oublies pas. Parce que tôt, seul, au milieu de la neige, et de la forêt. Il pense à moi.]

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