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L'abbé Pierre est mort. Sa présence définissait les limites de l'égoisme. Peut-être nous soulageait-il aussi d'une certaine façon de nos obligations personnelles de miséricorde. Il assurait la tâche et la veille pour chacun d'entre nous. Il n'est plus. Allons-nous nous reveiler ? Repousser les limites de toutes les pressions et décisions politique, économique inacceptables ? Chacun pour les autres et tous pour tous ? Sommes nous encore capables d'être encore, ne serait-ce qu'un peu, un soir, un instant, un don quichotte de l'entraide [..]

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