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N'ayant pas grand chose à ajouter aux nombreuses recensions parues ici, là ou encore ailleurs (pour ne pas dire elsewhere ni somewhere else)*, du dernier double album solo de Keith Jarrett, je me contenterai, avec le côté vétilleux et pisse-froid qui me caractérise (!), de faire remarquer que l'inclusion des applaudissements gâche beaucoup l'impression d'ensemble [..]

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