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Tours, un vendredi d'après-Toussaint. Une heure et demie, pour être précis. Temps superbe, premiers froids ; admiration muette du palais de Châteauneuf et de son architecture parfaite. Terrasses désertes et courants de vent dans les rues, à chercher un coiffeur libre (et à croire que tous les gens sont, non pas absents de la ville comme on le croirait, mais affairés à se faire tailler les tifs) [..]

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