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Composé en marchant, rue de l'Anguille, jeudi vers trois heures.   Vous n'êtes plus personne Que le vent abandonne Que la marée moissonne Que le feu désarçonne   Vous n'êtes éperdu De ce malentendu De n'avoir étendu Vos bras vers l'inconnu   Que l'orage résonne Vous n'êtes plus personne Que la peur emprisonne Que ma bouche fredonne   Lalala lala lalalalala Lalalalala Lalalalala  

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