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J’aurais pu à la manière de Valério Motta, envoyer bouler tout mai 68, jetter l’anathème, vomir sur les leaders de 68 devenus de complets représentants du néo-conservatisme. Mais à y réfléchir, je ne voulais pas me retrouver du coté de ceux qui fêtent les “40 ans après” pour relancer une organisation politique en perte de vitesse [..]

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