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L'excellent Chandelin a publié hier un billet intitulé Une terre perdue, auquel je souscris entièrement. Mon incurie informatique aidant (ou plus exactement: obstant), je suis, pour ma part, tributaire des petites publicités et fenêtres bondissantes dont mon hébergeur fait ses choux gras*, mais, à cette impureté près (!), je ne saurais, mieux que Chandelin, dire l'aversion et l'effroi que m'inspirent les vaseux communicants de la blogosphère [..]

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